Ariège - Vallée du Biros - Août 2020
Publié : ven. 14 août, 2020 17:58
Bjr à toutes et tous,
Aller, pour vous changer un peu des sujets techniques ou de type feuilleton... voici, dans la continuité du récit Domiluc Ariège - CR séjour Domiluc voici le compte-rendu d'un court séjour en Ariège dans la vallée du Biros que nous venons d'effectuer.
Nota : les coordonnées GPS sont celles de Park4Night
Jour 1 : route vers Castillon-sur-Couserans où nous faisons étape pour la nuit
Stationnement au camping Les Vignes
GPS : 42.9194 – 1.0291
Pour y accéder : le plus simple, c'est de tourner à droite au niveau de la supérette juste après l'O.T.
15 € avec électricité – camping municipal géré par un "privé" en délégation Sanitaires récents, propres.
Un certain nombre d'emplacement sont pris par des résidents à la saison qui déballent pas mal !
Visite à l'O.T pour connaître les randonnées à faire. Certaines fiches de randonnées sont gratuites, d'autres commercialisées 0,75 € /pièce ou 1,5 € / 3.
Il y a également un topo rando à 9,9 € qui regroupe la totalité des 47 fiches mais il était encore en ré-impression lors de notre passage. Sur les hauteurs la chapelle Saint Pierre (XI-XII siècle) est recommandée à la visite
Remarque : éviter de passer par Castillon-sur-Couserans le mardi matin, c'est jour de marché.
La D4 qui est déjà très étroite est barrée au centre-ville et la déviation mise en place n'est pas des plus agréables pour les longs camping-cars…
Jour 2 : Bonac
Stationnement sur l'aire municipale, au centre du village, de l'autre côté du Lez.
GPS : 42.8754 – 0.9748
9 € avec électricité – Aire de vidange artisanale bien pensée ; point(s) d'eau avec robinet, containers poubelle. Zone de retournement. Emplacements empierrés ; certains en légère pente nécessitent de caler. Nous y sommes arrivés en début d'après-midi et avons eu la chance de choisir notre place. Attendu qu'elle est "tout juste parfaite" et qu'en cette première semaine d'Août, il y a eu beaucoup de prétendants, certains ont dû se stationner à l'extérieur Petite balade de repérage en direction de Balacet (qui se prononce Balacette !) :
Le chemin qui monte derrière l'église, entre les maisons n'est pas repéré au départ. Ça mont raide et, nous devons faire plusieurs pauses. De plus, nous n'avons pas pris nos bâtons de marche qui nous auraient bien aidés. Le gros avantage : ce chemin est en sous-bois et, par cette chaleur, même de fin de journée, c'est très agréable Le chemin rejoint ensuite une route forestière (prendre à droite) qui nous conduit ensuite à la route entre Samiac et Balacet.
Nous redescendons par la route et découvrons cette source légèrement "ferrugineuse" Jour 3 : Bonac
Domiluc l'avait bien dit : pour randonner, il faut se lever tôt …
Nous n'avons pas mis le réveil, donc nous partons, une fois les sandwiches prêts que vers … 11h ! Le soleil est déjà haut.
Nous avons choisi la randonnée de la carrière de Balacet (fiche n° 30) pour une durée théorique de marche d'1h (au départ d'Uchentein) et 270 m de dénivelé. Nous rejoignons Balacet en marchant le long de la route ; c'est plus doux que par le chemin même si, c'est beaucoup moins bucolique et ombragé. Au passage : un petit PK – juste avant d'arriver à Balacet (42.8828 - 0.9789 coordonnées prises avec le Smartphone)- qui peut convenir à 2-3 petits véhicules (fourgons – vans) car la route est une petite blanche sur l'atlas routier et les croisements entre VL nécessitent déjà un peu d'attention. Comme vous pouvez le constater : il y a déjà un occupant "à l'année" ; nous en verrons quelques autres, bien délabrés au fond de prairies … lieux de vie alternative ?
Arrivés à Uchentein , il est déjà 13h. Nous décidons de pique-niquer sur un banc à proximité de l'église.
Le Couserans possède tout un circuit d'églises romanes, très caractéristiques par leur clocher "façade" à 2 ou 3 cloches, positionnées fréquemment en triangle.
Le point de départ de la randonnée est le petit oratoire en bordure de la route De là la carrière est atteignable – selon la fiche – en 30 mn ; comptez plutôt 40 mn selon votre âge et votre forme !
Le sentier mont assez raide ; il est en sous-bois sur la presque totalité du parcours.
Voici ce qui vous attend : On se demande comment nos anciens ont pu gagner leur vie dans l'exploitation de cette carrière ; peut-être un petit supplément à leur métier d'agriculteur ? Au vu du chantier, Il ne semble pas qu'elle ait été exploitée pendant très longtemps.
Jour 4 : Bonac
Pour la randonnée du jour, je pars seul : direction le col d'Arraing et si les jambes le permettent, la femme de l'O.T nous a chaudement recommandé de pousser jusqu'au Pic d'Arraing : "là vous êtes au milieu de nulle part et vous aurez une vue à 360 °…"
Départ de Bonac à 9h, ce n'est pas encore assez tôt… il est prévu 38°C cet après-midi !
J'emprunte la Soulane de Bonac ; je n'ai pas la fiche papier mais sur : tourisme-couserans-pyrenees on peut la télécharger et, si vous avez l'application VISORANDO (ou une autre) vous pouvez même avoir la trace que votre smartPhone.
Pour éviter de le décharger trop rapidement, pensez à le mettre sur la position avion ou munissez-vous d'une batterie externe.
Quelques hectomètres de route en direction de Sentein ; le sentier est bien indiqué, de suite à droite après le pont.
Il monte assez raide mais accessible à tous en sous-bois. Juste après la grange en rénovation on arrive sur la piste forestière, il faut redescendre à droite en direction d'Irazein.
Erreur d'appréciation, je monte ladite piste pendant …. 20 mn environ avant de trouver une personne qui me remet "dans le droit chemin" ; retour à la grange ci-dessus. C'est 35 mn de perdues !
Le village d'Irazein mérite une visite à lui tout seul ; il est facilement accessible en suivant la route depuis Bonac.
On a l'impression que les maisons sont comme blotties les unes contre les autres, peut-être pour se prémunir des rigueurs des hivers ? D'Irazein, on rejoint Balacet soit par un petit sentier (tout en haut du village, prendre à droite à ras de la maison ; vieux panneau marqué "route des Balacets") , soit par la route forestière.
Je choisis le sentier ; c'est quasiment plat et assez large. De plus, il est ombragé sous des futaies assez épaisses. A la première intersection, pas d'indication ni de marquage balisé … la logique me conseille de prendre en face, légèrement sur la droite. Il ne faudrait pas que je me trompe encore une fois !
Après 30 mn de marche assez rapide j'arrive au panneau de Balacet qui indique Irazein à 40 mn. J'ai récupéré un peu de mon retard... De là, comme hier, direction Uchentein. 1,8 km que j'atteins en moins de 30 mn.
Montée à la carrière de marbre, décrite ci-dessus.
Puis le sentier - bien balisé en jaune et n° 33 - monte vers la droite en passant devant la maison qui devait servir de lieu de vie aux carriers de l'époque. Là, la forêt qui nous abritait de soleil déjà haut dans le ciel, fait place à une sorte de lande / prairie bien pauvre…
A l'intersection, il faut prendre à gauche en direction de la cabane du berger. C'est aussi le chemin du tour du Couserans. Il doit être emprunté par des mules, ânes ou autres équidés car le sentier est une succession de creux et de bosses, marqués de leurs fers. Pas ce qu'il y a de plus agréable pour marcher.
Le panorama se fait grandiose ; on distingue très bien tous les sommets environnants dont le Mont Valier, le pic de Barlonguère, etc… En fait de cabane du berger, il y en a 2 : la nouvelle, inaugurée en 2019 et l'ancienne qui peut encore servir d'abri ou de refuge pour une nuit. Pour aller jusqu'au Pic d'Arraing, il faut emprunter une trace qui prend naissance derrière la vieille cabane.
Heureusement, une fois de plus, la solidarité en montage a joué : j'ai rencontré juste avant d'y arriver des randonneurs qui m'ont parfaitement renseigné, eux-mêmes s'étant déjà trompés !
Il est midi et le soleil commence à cogner dur ; la prévision des 38°C devrait être atteinte.
Pour la dernière heure d'ascension : pas une ombre et la pente est raide, le sentier escarpé…
Je dois faire régulièrement des pauses car le souffle se fait plus court ; heureusement les bâtons m'aident bien dans les appuis. Je me suis posé la question : vais-je y arriver ?
Le sentier serpente au mieux de fougères rases, des chardons marie et des orties.
A 13h, je suis enfin au sommet.
EXTRAORDINAIRE !
Le paysage s'offre sur – effectivement – 360 ° ; c'est merveilleux, splendide. Voyez plutôt : Après un bon pique-nique et une heure d'arrêt, après m'être bien réhydraté, je redescends vers la vallée par le sentier du tour du Biros à partir de la cabane du berger (balisage blanc – rouge ; cf carte ci-dessus). Attention : c'est le seul point d'eau sur tout le parcours et je ne sais pas si l'eau est potable pour nous. Bien prévoir son propre besoin…
Je rejoins l'aire de services dans la vallée via, à nouveau Irazein où j'achète le pain "tout juste sorti du four". Il est 17h, je suis fourbu mais content…
Matinée du jour 5 : Bonac et retour vers le Tarn
Notre seconde escapade en Ariège se termine ; nous n'avions que peu de jours cette fois-ci ; nous y reviendrons tant il y a à faire et à voir.
Nous n'avons visité et parcouru qu'une seule (en fait deux dans une) des balades en vallée du Biros, il en reste 45 "au moins" …
Ariège : à une fois prochaine, promis !
Voili, voilà. Si comme nous avec le récit de Domiluc, nous vous avons donné envie de venir en Ariège, nous en serons ravis. Si vous souhaitez avoir le texte en fichier Word avec insertion des photos, envoyez-moi un MP, ce sera avec grand plaisir.
Dernière petite info et petite déception : le jeudi en fin d'après-midi, à Bonac sur le PK après les tennis, se tient un petit marché de producteurs. Peu de locaux et quasiment aucun des producteurs ne portaient de masque alors que la proximité "visiteurs - clients - locaux - producteurs" ne permettait pas de respecter les1,5 m de distance minimale entre les personnes…
Aller, pour vous changer un peu des sujets techniques ou de type feuilleton... voici, dans la continuité du récit Domiluc Ariège - CR séjour Domiluc voici le compte-rendu d'un court séjour en Ariège dans la vallée du Biros que nous venons d'effectuer.
Nota : les coordonnées GPS sont celles de Park4Night
Jour 1 : route vers Castillon-sur-Couserans où nous faisons étape pour la nuit
Stationnement au camping Les Vignes
GPS : 42.9194 – 1.0291
Pour y accéder : le plus simple, c'est de tourner à droite au niveau de la supérette juste après l'O.T.
15 € avec électricité – camping municipal géré par un "privé" en délégation Sanitaires récents, propres.
Un certain nombre d'emplacement sont pris par des résidents à la saison qui déballent pas mal !
Visite à l'O.T pour connaître les randonnées à faire. Certaines fiches de randonnées sont gratuites, d'autres commercialisées 0,75 € /pièce ou 1,5 € / 3.
Il y a également un topo rando à 9,9 € qui regroupe la totalité des 47 fiches mais il était encore en ré-impression lors de notre passage. Sur les hauteurs la chapelle Saint Pierre (XI-XII siècle) est recommandée à la visite
Remarque : éviter de passer par Castillon-sur-Couserans le mardi matin, c'est jour de marché.
La D4 qui est déjà très étroite est barrée au centre-ville et la déviation mise en place n'est pas des plus agréables pour les longs camping-cars…
Jour 2 : Bonac
Stationnement sur l'aire municipale, au centre du village, de l'autre côté du Lez.
GPS : 42.8754 – 0.9748
9 € avec électricité – Aire de vidange artisanale bien pensée ; point(s) d'eau avec robinet, containers poubelle. Zone de retournement. Emplacements empierrés ; certains en légère pente nécessitent de caler. Nous y sommes arrivés en début d'après-midi et avons eu la chance de choisir notre place. Attendu qu'elle est "tout juste parfaite" et qu'en cette première semaine d'Août, il y a eu beaucoup de prétendants, certains ont dû se stationner à l'extérieur Petite balade de repérage en direction de Balacet (qui se prononce Balacette !) :
Le chemin qui monte derrière l'église, entre les maisons n'est pas repéré au départ. Ça mont raide et, nous devons faire plusieurs pauses. De plus, nous n'avons pas pris nos bâtons de marche qui nous auraient bien aidés. Le gros avantage : ce chemin est en sous-bois et, par cette chaleur, même de fin de journée, c'est très agréable Le chemin rejoint ensuite une route forestière (prendre à droite) qui nous conduit ensuite à la route entre Samiac et Balacet.
Nous redescendons par la route et découvrons cette source légèrement "ferrugineuse" Jour 3 : Bonac
Domiluc l'avait bien dit : pour randonner, il faut se lever tôt …
Nous n'avons pas mis le réveil, donc nous partons, une fois les sandwiches prêts que vers … 11h ! Le soleil est déjà haut.
Nous avons choisi la randonnée de la carrière de Balacet (fiche n° 30) pour une durée théorique de marche d'1h (au départ d'Uchentein) et 270 m de dénivelé. Nous rejoignons Balacet en marchant le long de la route ; c'est plus doux que par le chemin même si, c'est beaucoup moins bucolique et ombragé. Au passage : un petit PK – juste avant d'arriver à Balacet (42.8828 - 0.9789 coordonnées prises avec le Smartphone)- qui peut convenir à 2-3 petits véhicules (fourgons – vans) car la route est une petite blanche sur l'atlas routier et les croisements entre VL nécessitent déjà un peu d'attention. Comme vous pouvez le constater : il y a déjà un occupant "à l'année" ; nous en verrons quelques autres, bien délabrés au fond de prairies … lieux de vie alternative ?
Arrivés à Uchentein , il est déjà 13h. Nous décidons de pique-niquer sur un banc à proximité de l'église.
Le Couserans possède tout un circuit d'églises romanes, très caractéristiques par leur clocher "façade" à 2 ou 3 cloches, positionnées fréquemment en triangle.
Le point de départ de la randonnée est le petit oratoire en bordure de la route De là la carrière est atteignable – selon la fiche – en 30 mn ; comptez plutôt 40 mn selon votre âge et votre forme !
Le sentier mont assez raide ; il est en sous-bois sur la presque totalité du parcours.
Voici ce qui vous attend : On se demande comment nos anciens ont pu gagner leur vie dans l'exploitation de cette carrière ; peut-être un petit supplément à leur métier d'agriculteur ? Au vu du chantier, Il ne semble pas qu'elle ait été exploitée pendant très longtemps.
Jour 4 : Bonac
Pour la randonnée du jour, je pars seul : direction le col d'Arraing et si les jambes le permettent, la femme de l'O.T nous a chaudement recommandé de pousser jusqu'au Pic d'Arraing : "là vous êtes au milieu de nulle part et vous aurez une vue à 360 °…"
Départ de Bonac à 9h, ce n'est pas encore assez tôt… il est prévu 38°C cet après-midi !
J'emprunte la Soulane de Bonac ; je n'ai pas la fiche papier mais sur : tourisme-couserans-pyrenees on peut la télécharger et, si vous avez l'application VISORANDO (ou une autre) vous pouvez même avoir la trace que votre smartPhone.
Pour éviter de le décharger trop rapidement, pensez à le mettre sur la position avion ou munissez-vous d'une batterie externe.
Quelques hectomètres de route en direction de Sentein ; le sentier est bien indiqué, de suite à droite après le pont.
Il monte assez raide mais accessible à tous en sous-bois. Juste après la grange en rénovation on arrive sur la piste forestière, il faut redescendre à droite en direction d'Irazein.
Erreur d'appréciation, je monte ladite piste pendant …. 20 mn environ avant de trouver une personne qui me remet "dans le droit chemin" ; retour à la grange ci-dessus. C'est 35 mn de perdues !
Le village d'Irazein mérite une visite à lui tout seul ; il est facilement accessible en suivant la route depuis Bonac.
On a l'impression que les maisons sont comme blotties les unes contre les autres, peut-être pour se prémunir des rigueurs des hivers ? D'Irazein, on rejoint Balacet soit par un petit sentier (tout en haut du village, prendre à droite à ras de la maison ; vieux panneau marqué "route des Balacets") , soit par la route forestière.
Je choisis le sentier ; c'est quasiment plat et assez large. De plus, il est ombragé sous des futaies assez épaisses. A la première intersection, pas d'indication ni de marquage balisé … la logique me conseille de prendre en face, légèrement sur la droite. Il ne faudrait pas que je me trompe encore une fois !
Après 30 mn de marche assez rapide j'arrive au panneau de Balacet qui indique Irazein à 40 mn. J'ai récupéré un peu de mon retard... De là, comme hier, direction Uchentein. 1,8 km que j'atteins en moins de 30 mn.
Montée à la carrière de marbre, décrite ci-dessus.
Puis le sentier - bien balisé en jaune et n° 33 - monte vers la droite en passant devant la maison qui devait servir de lieu de vie aux carriers de l'époque. Là, la forêt qui nous abritait de soleil déjà haut dans le ciel, fait place à une sorte de lande / prairie bien pauvre…
A l'intersection, il faut prendre à gauche en direction de la cabane du berger. C'est aussi le chemin du tour du Couserans. Il doit être emprunté par des mules, ânes ou autres équidés car le sentier est une succession de creux et de bosses, marqués de leurs fers. Pas ce qu'il y a de plus agréable pour marcher.
Le panorama se fait grandiose ; on distingue très bien tous les sommets environnants dont le Mont Valier, le pic de Barlonguère, etc… En fait de cabane du berger, il y en a 2 : la nouvelle, inaugurée en 2019 et l'ancienne qui peut encore servir d'abri ou de refuge pour une nuit. Pour aller jusqu'au Pic d'Arraing, il faut emprunter une trace qui prend naissance derrière la vieille cabane.
Heureusement, une fois de plus, la solidarité en montage a joué : j'ai rencontré juste avant d'y arriver des randonneurs qui m'ont parfaitement renseigné, eux-mêmes s'étant déjà trompés !
Il est midi et le soleil commence à cogner dur ; la prévision des 38°C devrait être atteinte.
Pour la dernière heure d'ascension : pas une ombre et la pente est raide, le sentier escarpé…
Je dois faire régulièrement des pauses car le souffle se fait plus court ; heureusement les bâtons m'aident bien dans les appuis. Je me suis posé la question : vais-je y arriver ?
Le sentier serpente au mieux de fougères rases, des chardons marie et des orties.
A 13h, je suis enfin au sommet.
EXTRAORDINAIRE !
Le paysage s'offre sur – effectivement – 360 ° ; c'est merveilleux, splendide. Voyez plutôt : Après un bon pique-nique et une heure d'arrêt, après m'être bien réhydraté, je redescends vers la vallée par le sentier du tour du Biros à partir de la cabane du berger (balisage blanc – rouge ; cf carte ci-dessus). Attention : c'est le seul point d'eau sur tout le parcours et je ne sais pas si l'eau est potable pour nous. Bien prévoir son propre besoin…
Je rejoins l'aire de services dans la vallée via, à nouveau Irazein où j'achète le pain "tout juste sorti du four". Il est 17h, je suis fourbu mais content…
Matinée du jour 5 : Bonac et retour vers le Tarn
Notre seconde escapade en Ariège se termine ; nous n'avions que peu de jours cette fois-ci ; nous y reviendrons tant il y a à faire et à voir.
Nous n'avons visité et parcouru qu'une seule (en fait deux dans une) des balades en vallée du Biros, il en reste 45 "au moins" …
Ariège : à une fois prochaine, promis !
Voili, voilà. Si comme nous avec le récit de Domiluc, nous vous avons donné envie de venir en Ariège, nous en serons ravis. Si vous souhaitez avoir le texte en fichier Word avec insertion des photos, envoyez-moi un MP, ce sera avec grand plaisir.
Dernière petite info et petite déception : le jeudi en fin d'après-midi, à Bonac sur le PK après les tennis, se tient un petit marché de producteurs. Peu de locaux et quasiment aucun des producteurs ne portaient de masque alors que la proximité "visiteurs - clients - locaux - producteurs" ne permettait pas de respecter les1,5 m de distance minimale entre les personnes…
et 
pour cet agréable récit de voyage, qui donne toujours autant envie de visiter plus profondément cette région.
pour le partage!